Beaucoup
de gens dans le monde ne savent même pas, encore, c’est quoi Internet ou même
l’informatique, principalement dans les continents pauvres tel que l’Afrique.
Cet état de fait lamentable et choquant est une réalité due, entre autres
facteurs, à la pauvreté et la misère accrues que connaissent ces pays, ainsi
qu’au niveau éducatif et culturel souvent médiocre.
En
Tunisie, peut être, pouvons dire que la situation n’est pas des meilleurs, mais
la présence de ces deux moyens technologiques a bien fait sa percée, depuis
quelques années déjà. Et leur emploi n’est plus de secret pour une bonne partie
de la population, en particulier, la classe des jeunes et moins jeunes qui
cherchent l’information et à établir des relations de connaissance sur la toile
d’Internet.
Raison
pour laquelle, nous avons eu la chance de connaître la première révolution du
21ème siècle. Une révolution caractérisée par l’apport incontesté
d’un nouveau moyen de communication. Il s’agit de site social facebook,
principalement et à un degré moindre les autres tel que twitter. Ces sites ont
participé, d’une manière ou d’une autre à créer une société d’internautes
capables de concorder leurs efforts grâce à la circulation fluide de
l’information entre eux.
L’on
se demande aujourd’hui, qu’en est – il de la situation deux années, environ,
après la « révolution ». Avons-nous progressé ou régressé ?
La
vérité est- il qu’il n’y a aucune information fiable et sûre dans le domaine,
pour le moment. Mais peut – être, pouvons nous avancer que vu la situation du
pays il est difficile de croire à une amélioration, car ni la conjoncture
économique ni le facteur sécurité ne favorise un développement quelconque
actuellement, malgré tous les multiples tentatives du gouvernement à rassurer
les gens sur leur avenir. Pour tout ceci, donc, il semble qu’il n’y a pas du
progrès net dans le domaine informatique – Internet, mais seulement, un léger
mieux par rapport à la période d’avant la révolution.
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